Quand j’ai vu tourner cette image sur Twitter ce week end, cela m’a fait gentiment sourire car c’est un peu le sentiment que j’ai eu lorsque j’ai effectué mon tout premier stage à la DSI de Louis Vuitton à la fin de mes études.
Quelle ne fut pas ma déception lorsque derrière le strass et les paillettes il y avait en fin de compte un bonne majorité de vieux programmes d’une dizaine d’années faisant tenir la boite et nécessitant des experts vieux de la vieille pour maintenir ces pachydermes ancestraux en bon état de fonctionnement. Idem pour mon amie qui se retrouve au département technique d’un grand groupe français de paris en ligne et qui désespère de voir du code mort ou du code répété joncher les lignes de la solution en très forte proportion..
C’est là où je veux en venir justement. Des exemples comme ceux-ci je suis persuadé qu’il y en a des millions. Dans les grosses boites du CAC, même chez Google, Facebook ou dans toute startup à la mode. Et c’est qu’il y a une raison, qu’on ne saisit pas à la sortie de l’école, des étoiles plein les yeux songeant que l’on va travailler au quotidien sur un chef-d’oeuvre de code: le code que vous produisez ou que les équipes produisent pour votre solution doit avant tout être fonctionnel et servir votre business.